La nuit couvre de son manteau noir la cité. La fébrilité des foules, fourmilière grouillante, a perdu de son panache pour céder le pas au calme de l’intimité d’une soirée en tête à tête à l’abri des regards indiscrets. Épuisé, le corps se ressource dans un profond sommeil réparateur, animé par les rêves les plusLire la suite « Visage angélique »
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