
J’attendais ta lettre d’amour
Qui sent bon le parfum encensé
De tes doigts délicatement posés
Sur les rides froissées de nos jours
Je m’attendais à entendre
Le crissement de ta plume pudique
Modeler tes notes en musique
Sans chercher à comprendre
Femme offerte au charme
Du temps perdu à se chercher
Au-delà de ces vastes contrées
Secouées par l’orage en larmes
Charef
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Publié par charef
D’un port qui se fond dans le paysage, BERKANI Charef accentue volontairement son apparence anodine pour mieux être fidèle à ses convictions. Il sera éternellement au service des autres, créatif d’idées et leader de groupe sans en avoir l’apparence et encore moins la faconde. Ses paroles empreintes d’un léger cheveu sur la langue imposaient un sérieux de bon aloi. De plus, des yeux scrutateurs et une bouche naturellement en sourire, ramènent à plus d’attention pour cet homme qui a marqué ses amis et ceux qui ne le sont pas. Tous lui reconnaissent, parfois à demi-mot, une intelligence acérée et un sens rare du consensuel.
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Ca fait très plaisir de lire un si tendre poème de si bon matin
très bonne journée à toi Charef
bisous
Heureux et flatté à la fois pour ce joli sourire matinal. Bisous
Très beau poème Charef plein de belles images.
Amitiés
Merci d’apprécier Roberte. Bisous.
Beau poème bien que je n’ai pas tout compris cette fois-ci. Bonne soirée bouss
Bonne nuit Gys. Oui trop d’amalgame dans ce poème. Je te l’accorde. Rires. Boussa kbira.